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Liberté ...

   
 

 

 

 


 
Le Québécois
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Horizon...


Du conseil international en gestion stratégique et en développement d'économies émergentes...
Au regard sur la régression du respect de la dignité humaine, des libertés et du partage.
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Devant la multiplication actuelle des atteintes à la liberté d’expression, sous forme d’intimidations et de menaces à l’égard de blogs et de sites, de la part d’officines spécialisées dans la désinformation et la propagande relatives aux évènements passés, présents et à venir au Moyen-Orient, tout particulièrement, il est rappelé que la Loi du 21 juin 2004 (LCEN),

modifiée par la Loi n°2009-1311 du 28 octobre – art.12, s’appliquant à des « abus » éventuels,

spécifie

dans son alinéa 4 :

« Le fait, pour toute personne, de présenter aux personnes mentionnées au 2

un contenu ou une activité

comme étant illicite

dans le but d'en obtenir le retrait ou d'en faire cesser la diffusion,

alors qu'elle sait cette information inexacte,

est puni

d'une peine d'un an d'emprisonnement

et

de 15 000 Euros d'amende»

 

 

6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 12:27

 

 

"Aucun homme n’est né avec une selle sur le dos, et aucun non plus avec des éperons pour le monter."
Slogan des  "Dissidents anglais"  (1)

 

 

 

 

La banque française BNP-Paribas, nous explique-t-on avec embarras, est passible d’une amende de 10 milliards de dollars, ou plus (circule le chiffre de 16), dans le cadre d’une action pénale aux Etats-Unis...

 

 

L'écosystème de la "sanction"

 

Je ne vais certainement pas verser une larme sur les actionnaires du représentant d’une telle industrie. N’éprouvant aucune affection particulière, ni estime, pour les spéculateurs, prédateurs et usuriers.

 

Quand on constate, sidérés, ce que les dérives, dysfonctionnements, erreurs de gestion, des banques ont coûté, coûtent encore, à nos collectivités. Dans tous les pays, développés ou en voie de l’être …

Sanctions US : Guerre Economique ou Racket ?...

Par leurs ponctions répétées sur les finances publiques afin de les sauver, dans l’impunité et gratuitement, de leurs noyades et faillites récurrentes. Conséquences de la démesure de leurs spéculations dans "l'économie-casino", aux mafieuses ramifications. Les effets dévastateurs de leur indécrottable incurie dans le financement d’investissements productifs fondés sur la création d’emplois. Ecrasant nos économies nationales, tel un gigantesque marteau-pilon, dans la récession …

.

De plus, il ne s’agit que d’une pitrerie judiciaire. Caricaturale par ses jongleries avec le "Non-Droit". International, plus particulièrement.

.

Dans le sens ou le Droit est tellement détourné de sa finalité, son éthique, son "esprit" selon l'expression de ses pères fondateurs, que son existence n’a pas plus de consistance qu’un rideau de fumée dissimulant les pires entourloupes ou crimes.

Ne méritant de s’attarder, non sur le fond car il n’y en a pas mais, uniquement sur le contexte de cette affaire. Ou plutôt, "l’écosystème" mettant en jeu, en interaction, l’incompétence et la veulerie de nos castes politiques, assistées de leurs médias de la désinformation, face aux délires mégalomaniaques d’un "allié". Nous considérant, du haut de son trône jupitérien, comme un simple vassal à pressurer ou à cravacher.

 

Les uns et les autres pétrissant frénétiquement, dans le contentement de soi le plus cynique : irrationalité, incohérence, absurdité, mensonge…

Sanctions US : Guerre Economique ou Racket ?...

Aboutissement d’un obscurantisme idéologique réduisant la gestion de nos Etats, en pleine décrépitude sciemment organisée, à la brutalité des rapports de force. Si ce n’est, le plus souvent, la violence aveugle : économique et sociale à l’intérieur de nos pays, militaire à l’extérieur.

.

En conséquence, les "sanctions judiciarisées", quel qu’en soit le périmètre d’application, ne sont qu’un prétexte.

.

Reste à déterminer suivant leur niveau d’illégalité, ou d’arbitraire, si elles ressortent de la "guerre économique" ou du "racket"…

Lord Palmerston

 

Un des plus implacables ministres du Royaume-Uni, Lord Palmerston, pour boussole guidant sa politique, appliquait un principe  (2) :

« L'Angleterre n'a pas d'amis ou d'ennemis permanents, elle n'a que des intérêts permanents. »

 

C’est ce que devrait enfin se dire, s’incruster dans les neurones en retroussant les  manches, notre pays. L’Europe aussi.

 

Au-delà de la banque concernée par cette "sanction", qui n’est qu’un détail dans le problème posé, c’est de souveraineté nationale, d’indépendance, de respect de notre pays, qu’il s’agit. Tout autant politique qu’économique.

Sanctions US : Guerre Economique ou Racket ?...

Les politiciens et médias serviles ne cessent de nous marteler qu’il y a eu "fraude", "dissimulation". Entretenir des relations avec des pays sous "sanction" obéit à des lois, avec ses listes de pays, de matériels et de transactions : Iran, Soudan, Cuba, Corée du nord, etc. Récemment, Syrie et Russie. Demain, Venezuela. Après-demain, qui sait ?...
.

Donc, il est "normal" de sanctionner nos entreprises, même si elles n’ont pas enfreint le droit international, ni la législation européenne, ni la législation française. Puisqu’il y a eu "fraude" !...

.

"Normal", que Total ait été obligé de payer une amende de 400 millions au Trésor américain pour avoir terminé, il y a plus de 20 ans, quelques contrats sur lesquels il s'était engagé avec l'Iran.

"Normal", que Renault et Peugeot aient été contraints d'arrêter leurs chaînes de production en Iran, et la livraison de pièces détachées pour les véhicules déjà produits et vendus. "Normal", qu'Airbus ait été obligé de refuser la vente d'avions "civils" à l'Iran et, dans le même temps, de délocaliser sa production et sa recherche aux Etats-Unis. "Normal", etc.

 

Interminable énumération de normes à géométrie variable...

 

Dans le cas BNP-Paribas, la "sanction" est donc "légitime", d'après ces propagandistes. C’est seulement le montant qui ne l’est pas. "Disproportionné", "exagéré", répètent nos oligarques pour faire accepter le fait que, dans tous les cas de figure, nous devons nous : "soumettre"…

 

Par rapport à quoi ?... En vertu de quoi ?...

 

D’une loi du Congrès américain ?...

 

Car ces "sanctions" ne sont pas édictées par un organisme international : ONU ou autre. Elles émanent seulement du Congrès des Etats-Unis. Ainsi, le parlement d’un pays étranger s’autorise, unilatéralement, à régenter nos relations diplomatiques et commerciales !...

 

Stupéfiant, de constater le degré d’abaissement putassier de notre nomenklatura…

 

Imagine-t-on le parlement de notre pays légiférer pour interdire, en vertu de "notre Loi", à nos alliés et partenaires d’entretenir des relations diplomatiques et commerciales ?... Projets d’investissements ?... Actions et échanges culturels ?... (3)  Avec un ou des pays, objets de notre vindicte, selon notre bon vouloir ou nos fantasmes géopolitiques ?...

 

De quel droit ?... Celui du "plus fort" ?...

 

Napoléon s’y était essayé en instaurant unilatéralement l’équivalent des sanctions et embargos actuels, à la mode du Congrès américain. Imposant par le décret de Berlin du 21 novembre 1806, renforcé par celui de Milan du 23 novembre 1807 : le Blocus Continental. Obligeant les pays européens à cesser toutes relations avec le Royaume-Uni. Tant à l’exportation qu’à l’importation.

 

Résultat : cette "guerre économique" a excédé les pays européens qui se sont ligués, coalisés, contre lui. Et, il en a perdu son Empire…

Sanctions US : Guerre Economique ou Racket ?...

"Changement de régime"

 

Excellent tacticien, mais piètre stratège en analyses géopolitiques (envahir l’Espagne, la Russie, etc. !...), Napoléon n’avait rien compris. Seul, Talleyrand l’avait anticipé : une "guerre économique" imposée unilatéralement à d’autres pays par la force, pour abattre son ennemi direct, n’a aucune chance de succès. Au contraire, à terme, un effet boomerang.

 

Peu de temps auparavant, les Etats-Unis avaient déjà donné un bel exemple de résistance aux mesures d’embargo de la Révolution française et du Directoire. Refusant de rembourser les prêts accordés sous Louis XVI par la France, prétextant le "changement de régime" (déjà !) : ce qui était dû à la monarchie française, ne l'était pas à la république ou au Directoire… Annulant leurs dettes de leur propre chef.

 

Refusant même de payer les pensions des anciens soldats, marins, et officiers français qui avaient combattu contre les anglais aux côtés des indépendantistes américains. Certains y avaient laissé un bras, une jambe, une main où un œil, sous la mitraille anglaise. Une délégation de ces anciens combattants tenta de convaincre le président Thomas Jefferson. En vain. Mais, quand on voit la façon dont ils traitent leurs propres vétérans, il n’y a pas de quoi s’offusquer…

 

"Business is business", tel est le credo. Ils n’ont pas hésité à attaquer les navires français, en lutte contre le commerce anglais, qui tentaient d'arraisonner ou de contrôler leurs cargaisons.

 

Ce fut la Quasi-Guerre (en anglais : Quasi-War). Une guerre non déclarée, essentiellement navale. D’où l’appellation de certains historiens américains : "Undeclared War with France". Du 7 juillet 1798 au 30 septembre 1800 (Traité de Mortefontaine). Capturant 85 navires français dont la frégate L’Insurgente, après avoir pratiquement détruit une autre frégate La Vengeance.  

 

Ah !...  Les "alliés"

Sanctions US : Guerre Economique ou Racket ?...

Ressortant davantage du "racket" que de la "guerre économique", suicidaires pour nos économies, nos emplois. En résumé, pour les intérêts fondamentaux de nos pays. Pourquoi, France et Europe n’opposent-elles pas la même résistance aux mesures d’embargos, et jugements arbitraires imposés par une puissance étrangère, que les Etats à l’époque de Napoléon ?...

.

Parce que les conditions géopolitiques ont, radicalement, changé.

Les intérêts des oligarchies étaient, alors, directement en jeu : c’était mettre en péril les finances des monarchies et principautés européennes. L'impact était immédiat. Directement investies dans l’activité manufacturière, et commerciale, de leurs pays. Inextricablement liées aux activités nationales.

 

Dans un contexte d’une remarquable stabilité monétaire (4). Sans la possibilité de recourir aux colossales spéculations de "l’économie-casino" actuelles, avec des masses de capitaux circulant d’un pays ou d'un continent à l’autre sans régulation, assurant des fortunes considérables aux nantis. Elles n’avaient aucun intérêt à asphyxier leurs économies et à scier la branche sur laquelle reposaient leurs trônes ou régimes.

 

D’autant que les appareils policiers étaient beaucoup moins sophistiqués, et puissants, que de nos jours pour exercer une répression efficace en cas de révoltes dues aux crises économiques.

 

A présent, les oligarchies, "le 1%" qui accapare les richesses nationales, du fait de la mondialisation n’ont plus besoin de l’assise nationale pour s’enrichir sans limite. "Délocalisations" industrielles, commerciales, financières, se sont multipliées. Leur procurant des revenus exponentiels qui échappent aux contrôles et aux enjeux nationaux. Notamment, ceux de la solidarité et de l'équité fiscales. Plonger leurs propres pays dans la récession, la paupérisation, ne leur pose aucun état d’âme…

La "Mondialisation" n’est que l’instauration d’une "Ploutocratie" à l’échelle planétaire. Une "Fédération des 1%"...

 

En fait, nos oligarchies ne courbent pas l’échine devant une puissance supérieure. Elles en sont partie prenante, au détriment des intérêts de leurs propres nations. Expliquant la totale  complicité de nos "castes" au pouvoir avec l’instauration de la "primauté du droit états-unien sur le sol européen". (5)
 

A l’exemple de la mise en place du "Grand Marché Transatlantique", le Partenariat Transatlantique pour le Commerce et l’Investissement (Transatlantic Trade and Investment Partnership - TTIP). Autorisant les entreprises US, entre autres généreuses libéralités, à  :
« ... au nom de la libre concurrence, porter plainte contre un État qui leur refuse des permis d’exploitation de gaz de schiste ou qui impose des normes alimentaires et des standards sociaux. » (6)

 

L’Europe n’existe pas.

 

Nous devons nous réapproprier le principe de Lord Palmerston.

 

Sanctions US : Guerre Economique ou Racket ?...

 

 

1.  Chrétiens anglais qui firent sécession avec la religion d’Etat : l’Anglicanisme (XVI° – XVIII° siècle). Repris en titre du chapitre 3 de l’autobiographie de Michel Le Bris : « Nous ne sommes pas d’ici », Grasset, 2009.

2.  Lord Palmerston fut deux fois premier ministre (Parti Libéral) du Royaume-Uni : 1855-1858 et 1859-1865.

3.  Même "l’Exception Culturelle Française" n’a pas fait le poids face au Congrès américain. Le Musée du Louvre a ainsi été contraint d’annuler une exposition, à Téhéran, d’objets d’art de la Perse qu’il détient dans ses collections et fonds. L’obscurantisme occidental n’a pas de bornes…

4.  Cf. : "La grande stabilité monétaire des XVIII° et XIX° siècles", dans "Le capital au XXI° siècle" de Thomas Piketty, Seuil, 2013, p. 171.

5.  Jean-Claude Paye, Le Droit États-Unien s’impose sur le territoire européen, 3 juin, 2014, http://www.voltairenet.org/article184067.html

5.  Jean-Claude Paye, Op. Cit.

 

 

 

 

 

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commentaires

G
Bonsoir Abdelkader<br /> <br /> Effectivement, je serai moins optimiste sur ce point.<br /> <br /> La stratégie de la tension entretenue par les pays de l’OTAN peut déraper à tout moment. Clausewitz le disait : « la stupidité échappe à toute tentative de planification »… <br /> <br /> Paul Craig Roberts est très préoccupé de ces fous furieux qui tiennent le Congrès dans leurs mains et, depuis quelques temps, multiplie les articles et déclarations contre le lobby belliciste. Il appartient avec Ron Paul, et d’autres encore, à cette catégorie d’américains qui ont le &quot;sens des responsabilités&quot;, de l'Humain, et condamnent ces dérives hallucinées. Ajoutons que nombre de militaires de haut rang aux USA craignent le coup de folie des politiques.<br /> <br /> La tension monte… La Russie vient de lancer d’impressionnantes manœuvres militaires, à la surprise générale, dans l’enclave de Kaliningrad. C’est-à-dire, dans un remarquable coup de maître stratégique, sur les arrières des forces de l’OTAN, en cours de manœuvre dans les pays Baltes et en Pologne… <br /> <br /> La Chine vient de passer la semaine à pratiquer des exercices d’atterrissage de tous types d’appareils militaires sur des autoroutes (chasse, bombardiers, transport aérien, hélicoptères, etc.) !... Considérés comme des aéroports de dégagement improvisés en cas de bombardements de leurs aérodromes. Exhibant une sidérante flexibilité opérationnelle. <br /> <br /> Quels sont les enjeux immédiats ?...<br /> <br /> Je partage l’avis de certains analystes qui estiment que l’agitation des occidentaux aux portes et fenêtres de la Russie et de la Chine ont pour finalité de les « inhiber », pour se consacrer à la défense de leurs frontières. Afin de permettre à l’OTAN de matraquer, à son aise, l’Iran. <br /> <br /> Car, les négociations sur le nucléaire à Genève approchent du terme convenu (juillet). Elles vont probablement échouer, du fait de la surenchère permanente des négociateurs de l’Occident qui ne souhaitent aucun accord. <br /> <br /> Le nucléaire Iranien n’est qu’un prétexte, et il est impossible de trouver une solution, ou une &quot;fin honorable&quot; à un prétexte…<br /> <br /> Les Iraniens s’y préparent, face à la réactivation en cours de leur diabolisation, multipliant les exercices antiaériens et balistiques. Ils estiment la première salve qu’ils vont recevoir à un minimum de 2000 missiles de croisière, tirés sous tous les angles et de toutes plateformes (y compris sous-marines) pour réduire en poussière leurs industries et leurs infrastructures, si courageusement et péniblement reconstruites après la longue guerre Iran-Irak (1980-1988).<br /> <br /> Toutefois, un paramètre, dans ce scénario de sanguinaires, est stupidement sous-estimé par les occidentaux : l’Iran d’aujourd’hui n’est pas celui épuisé à la fin de 1988. La riposte sera à la hauteur de la violence de l’attaque.<br /> <br /> Je crains que fermer son poste de télévision et ne plus lire la presse de la propagande ne soient pas des remèdes suffisants pour conjurer l’hécatombe...<br /> <br /> Amitiés<br /> .
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A
Bonsoir Georges,<br /> Merci pour ton optimisme communicateur.... Mais permets-moi de sauter sur un autre sujet moins optimiste : Que penses-tu du dernier pavé de Paul Craig Roberts à propos de hautes probabilités de voir le ciel nous tomber dessus un de ces quatre ?...<br /> <br /> http://www.mondialisation.ca/etes-vous-prets-pour-la-guerre-nucleaire/5385935
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G
.<br /> Cher Abdelkader<br /> <br /> Certes. Suis-je trop optimiste ?… Mais, j’ai le sentiment que cette politique de la prédation a atteint ses limites. Et, que le reflux s’annonce.<br /> <br /> D’autant plus que les Etats qui soutiennent, partagent, cette prétention hégémonique, vivent des situations économiques, financières et sociales plus que fragiles. Explosives… L’illusion des colosses aux pieds d’argile.<br /> <br /> De plus, aussi, les &quot;butoirs&quot; sont là. Incontournables, malgré toutes les entreprises de démolition de &quot;l’oligarchie mondiale&quot; : économiques, militaires, culturelles.<br /> <br /> Au Moyen-Orient avec ses échecs répétés et l’extraordinaire résistance tant de la Palestine, de la Syrie et de l’Iran. Avec, même si la propagande occidentale le nie, un « ras-le-bol » généralisé des opinions publiques.<br /> <br /> En Amérique latine, avec la lente montée des communautés autochtones, métissées ou pas, dans les mécanismes de décision ou de pouvoir, contre les minorités européennes héritières des anciens colons, spoliatrices depuis des siècles. Aux exemples vivifiants : Bolivie, Venezuela, Equateur, etc.<br /> <br /> Viendra l’Afrique sub-saharienne, dans la deuxième partie de ce siècle, qui se réappropriera ses ressources et son destin, en dehors des anciennes puissances colonisatrices.<br /> <br /> En Europe de l’Est avec la Renaissance de la Russie, qui reste de marbre face à toutes les entreprises de déstabilisation de l’OTAN.<br /> <br /> En Asie, où les manœuvres de néo-colonisation à &quot;emballage biblique&quot; n’ont aucune prise, cette &quot;caste&quot; essaye de convaincre les &quot;1% locaux&quot; de s’associer à leurs rackets. Pas sûr que la mayonnaise prenne…<br /> <br /> La roue tourne. Malgré sa lenteur apparente. Certainement pas dans le sens souhaité par cette poignée de mégalomanes…<br /> Gardons l’espoir !<br /> <br /> Amitiés<br /> <br /> .
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A
C'est le Congrès qui légifère en matière de &quot;Droit&quot; moderne aux Etats-Unis et la composante de cette assemblée est foncièrement et organiquement liée aux lobbies sionistes américains et mondiaux, eux-mêmes représentatifs des intérêts de la haute finance mondiale ou si on veut, de l' &quot;Ordre mondial&quot;... Et la boucle est bouclée. Tant que l'Organisation sioniste mondiale existe et agit impunément, au mépris des Etats et des intérêts des peuples de la planète entière, rien n'arrêtera la marche de l' Humanité vers le chaos final.
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