Dans le tour d’horizon sur la désinformation et la propagande auquel je me livre, dans ce blog, existe une expression anglaise qui n’a pas son équivalent en français, le : « bashing ».
Dans son sens premier en français, c’est la "raclée". Mais, dans les techniques de propagande et de désinformation, il s’applique à une activité bien précise : dénigrer, harceler, diffamer, à tout propos et de façon systématique.
L’industrie occidentale du “bashing”
Cette technique, parfaitement rodée, est de plus en plus utilisée. Son organisation et son niveau de technicité ont été fortement améliorés au cours des dernières années. Notamment, pour la coordination entre pays, et entre médias, occidentaux. Remarquez la totale intégration des médias en matière “d’information”, réagissant au quart de tour, au doigt et à l’oeil.
Souvenons-nous des campagnes de l’hystérie islamophobe, lors de la “loi sur le voile”, en France, ou encore contre la communauté musulmane de Malaisie, dans tous les pays occidentaux. Dans un autre registre, simultanément dans tous les pays occidentaux encore, les campagnes anti-Poutine, anti-Chavez, etc.
A présent c’est la Chine qui est au premier plan. Nous vivons donc le : « China bashing ». Qui va s’accentuer jusqu’aux Jeux Olympiques…
En général, le bashing varie les angles d’attaque. Pour éviter la saturation de l’opinion publique. Depuis ces dernières semaines, comme on a pu s’en rendre compte, on assiste à une campagne de grande intensité sur le Tibet, sur fond de “droits de l'homme” et de “liberté de la presse”.
Mais, il y avait eu, antérieurement, un galop d’essai. Souvenons-nous, à la rentrée de l’été dernier, une campagne qui avait atteint son pic au mois d’octobre 2007. Dans tous les pays occidentaux en même temps, là encore.
Elle avait pour thème l’empoisonnement, auquel se livreraient les “sournois” Chinois, avec de la peinture toxique sur des jouets, et autres pièces dangereuses pour nos bambins. Avec en première ligne l’entreprise américaine MATTEL, afin de crédibiliser les assertions. Elle avait dû, par la suite, présenter ses excuses à la Chine (1). Incapable de justifier, devant les commissions d’enquête chinoises, ce qu’elle avançait dans les médias occidentaux…
Car, il s'agissait, en fait, d’une campagne « bidon ».
Un regard sur quelques uns de ces “angles d’attaque”…

Le “bashing” spéculateur
Avec MATTEL, nous étions dans le commerce international. Un autre angle d’attaque passe par des “experts” économistes ou boursiers. Certains, en début d’année n’ont pas hésité à “prévoir” l’effondrement de la Chine : avant les JO !... Plus précisément, au “deuxième trimestre” de l’année. Celui-ci étant déjà bien entamé, nous sommes donc à la veille d’un séisme majeur, à les écouter.
Regardez la vidéo d’une “prévision” d’un de ces "experts" sur ce qui attend la Chine en 2008. Un des exemples d’intox, parmi les plus caricaturaux que je connaisse (2). Le summum dans le genre. Elle a été mise en ligne le 8 janvier 2008, sur Dailymotion (3).
La Chine est au bord d’un krach financier !... Une “bulle” va éclater La veille des Jeux Olympiques !... Sous-entendu : inutile d’aller aux JO, de réserver votre billet d’avion ou votre hôtel… Cela va être un tsunami !... Doctement, "l'expert" prévoit, avec précision, que cela se passera au 2° trimestre 2008.
Le plus intéressant est la palette du vocabulaire utilisé :
“… la Chine n’est même pas un géant aux pieds d’argile, ce n’est que de l’argile … tout y est pourri… crise de surinvestissement… surcapacité de production… écroulement des bourses… etc.”
Bref : l’apocalypse annoncée !...
Un mot, avant d’en venir au fond, sur ces “spécialistes des marchés”, c'est-à-dire des marchés boursiers, opérations en capital ou capitalisation boursière. C'est ainsi que se présentent ces “experts”.
A la TV, vous le remarquerez, ils sont souvent interviewés avec en arrière-plan, une salle des marchés, bourrée d’ordinateurs. Pour impressionner. Manière de se donner un label de fiabilité. Comme s’il s’agissait de la salle de contrôle de la NASA. Mais, autant pour la NASA on peut parler de recherche constante de la fiabilité, ce qui n’exclut pas les défaillances tragiques, autant, ici, nous sommes au royaume du vent.
Les ordinateurs ne présentent aucune garantie de fiabilité en vertu du principe, bien connu des anglo-saxons quand ils parlent de l’informatique : “garbage in, garbage out”. Garbage c’est la poubelle, les ordures, en anglais. Si vous mettez des ordures dans votre système d’informations, autrement dit si vous y introduisez "n’importe quoi", c’est "n’importe quoi" qui en sortira.
On l’a vu avec le scandale de la Société Générale. Ou encore, avec la “bulle des subprimes” ravageant actuellement les géants bancaires américains, tels que Citigroup (4), britanniques ou suisses, qui enregistrent des pertes colossales.
En général, ces pseudo-experts travaillent dans la spéculation. Ils ont intérêt à agir sur la peur inhérente à la prise de risque. La pratique de “l’alarmisme” est un de leurs instruments de travail favoris. Provoquer des va-et-vient de ventes et d’achats, est leur but. Souvent on fait acheter en sous-main, ce qu'on fait vendre à perte. Nous sommes au royaume de l’économie-casino, de la spéculation.
La spéculation financière a pour fondement l’esbroufe, le vent, la panique, le basculement, les allers-retours. C’est probablement, avec la publicité et l’audiovisuel, le secteur d’activité où la concentration au m2 de bonimenteurs est la plus élevée. Brassant des courants d’air, avec culot.
Dans le cas de la Chine, la propagande antichinoise est un tapis de velours pour ces spéculateurs. Seul problème : nous voilà en plein deuxième trimestre et la Chine se porte comme un charme !... La Bourse de Shanghai, aussi. Elle possède la moitié des réserves d’or des USA. Le pays se dote d’infrastructures magnifiques et performantes, dont nous n’avons pas idée en Occident. Dans tous les domaines : industrie, transport, éducation, énergie, santé, culture… À un rythme régulier.
Je ne vais pas vous accabler de chiffres, de statistiques, ou de témoignages. Vous pouvez trouver tout cela dans des revues ou des sites spécialisés, pour ceux qui souhaitent approfondir (5) leurs informations (6). Je me limiterai à deux indicateurs :
i) La Foire de Canton, en cours. Elle se tient, en ce moment, du 15 au 30 avril. A mi-parcours : 130.000 hommes d’affaires étrangers s’y sont précipités, pour signer des contrats à l’exportation à hauteur de 25,5 milliards de dollars… Dont 16 milliards, c’est pour moi l’indicateur essentiel, non pas pour acheter des pantoufles, des chemises ou des vermicelles, mais des produits mécaniques et électroniques.
ii) La Chine, investit méthodiquement dans l’avenir, en se dotant de remarquables infrastructures scientifiques :
“Les laboratoires chinois font partie de ceux qui publient le plus au monde dans le domaine des nanotechnologies… plus de 300 entreprises industrielles, 50 universités et une vingtaine d’instituts dépendants de l’Académie des Sciences ont des unités de recherche et de développement des nanotechnologies d’après le magazine “Science” …
Dans le nucléaire civil, les Chinois construisent désormais eux-mêmes les réacteurs de deuxième génération, comme dans le cas du doublement des centrales de Daya Bay et de Lingao dans le sud du pays.” (7)
“Tout est pourri… tout est d’argile…” : oui.
Chez les bonimenteurs de la spéculation boursière…
Le “bashing” prolétarien
Certes, tout n’est pas facile. Tout n’avance pas au même rythme. La Chine connaît des surchauffes, un taux d’inflation de 8% dans les zones urbaines. Des tensions apparaissent, aussi, dans l’immobilier dans ces mêmes zones. La rapidité de la croissance urbaine provoque le phénomène que nous avons bien connu, en Europe : l’exode rural. Plein de problèmes liés à une croissance extrêmement rapide, dont le traitement ne se fait pas en un jour, avec une baguette magique.
Chez nous, non plus, cela ne s’est pas fait en un jour.
Qu’on se souvienne de la condition ouvrière depuis l’apparition de l’industrialisation de notre économie, jusqu’à nos jours. De la révolte des canuts, massacrés à Lyon, en passant par la Commune et le Front Populaire.
Qu’on relise les romans de Dos Passos sur la condition ouvrière aux USA, avant la dernière guerre. Ou, ceux de Dickens sur la condition ouvrière en Grande-Bretagne. En comparaison, les progrès réalisés, en Chine, en une cinquantaine d’années, sont exceptionnels dans le monde et dans l’Histoire.
Quant on voit nos politiciens, aux belles promesses et aux baratins inépuisables, qu’ils se disent de “gauche”, de “droite” ou du “centre”, incapables de gérer la France : emploi, logement, pouvoir d’achat, santé, éducation… Le quatrième pays le plus riche du monde. Même pas 65 millions d’habitants. L’équivalent d'une sous-préfecture d’une province chinoise, en superficie et en population…
Je vois mal cette bande de rigolos gérer un pays de 1,3 milliards d’habitants… A peine s’ils savent gérer leur “ego”… Quand ils ne bombent pas du torse, ils passent leur temps à se chamailler.
Mais, reconnaissons-leur ces qualités de courage et d’envergure intellectuelle : savoir baratiner leur propre peuple, et donner des “leçons” aux autres. On pourrait en dire autant de divers pays européens. Italie, Allemagne, Grande-Bretagne, par exemple. “Gauche” ou “droite” au pouvoir, tous se révèlent nuls. A tel point, que les citoyens de ces pays ne savent plus pour qui voter…
Malgré cela, les “leçons” pleuvent sur la Chine. Une qui m’amuse beaucoup, c’est le “bashing prolétarien”. Très en vogue chez les “bobos”.
Subitement, des “experts” et autres spécialistes sont pris d’une compassion pour la classe ouvrière chinoise. Affreusement maltraitée par les méchants capitalistes chinois, à les écouter. Déguisés en Mère Teresa, c’est avec exaltation qu’ils se penchent sur l’atroce condition de cette classe ouvrière.
A leurs yeux, dans le monde entier, il n’y aurait qu’une condition dramatique, dans l’exploitation humaine : celle du prolétariat chinois. Exploitant le filon, ils tartinent à longueur de pages et de documentaires…
Oubliant qu’il y a peu de décennies, la famine sévissait dans des provinces chinoises après la guerre. Oubliant le sort des paysans, des ouvriers, en Amérique latine ou en Afrique. Continents gérés par l’Occident depuis cinq siècles.
Oubliant le sort de populations entières écrasées sous les bombes occidentales, comme en Palestine, en Irak, où elles n’ont même pas le droit d’avoir une usine, même pas un atelier avec une machine outil. On leur dit : “Interdiction ! Cela pourrait servir à fabriquer des bombes pour alimenter le terrorisme…”
Vous verrez ces mêmes Mère Teresa endimanchées, totalement muettes sur la condition du paysan et de l’ouvrier en Inde, par exemple. Pays où le taux de suicides chez les pauvres, bien souvent obligés de vendre un de leurs organes pour se désendetter auprès des grands propriétaires terriens, est le plus élevé du monde. Pays, qui a la plus importante population au monde vivant sous le seuil de pauvreté absolu. Des centaines de millions. Pays où, d’après la Banque Mondiale, 45 % des enfants de moins de 5 ans, ce qui représente des dizaines de millions d’enfants, souffrent de malnutrition. (8)
Certes, des restructurations d’anciennes entreprises étatiques, en Chine, ont provoqué des reconversions sociales gérées de façon trop expéditive, que les autorités essaient de résoudre avec célérité. Elles n’ont aucun intérêt à laisser la situation se dégrader. Bien sûr, qu’il reste beaucoup à faire. Déjà, quand on visite des usines et des chantiers en Chine, on est frappé par l’hygiène, la propreté, les mesures de sécurité prises pour assurer de bonnes conditions de travail. Il est évident qu’il reste beaucoup à faire pour hisser l’ensemble du secteur industriel à ce niveau. Mais de là, à se défouler sur la Chine comme sur un bouc émissaire, il faut être d’une totale malhonnêteté intellectuelle.
En fait, le “bashing prolétarien” : c’est l’art de se donner une bonne conscience “sociale”, en s’essuyant les pieds sur la Chine.
Le “bashing” militariste
“ Le budget militaire chinois explose ! ” (9).
“Le Japon a appelé la Chine à répondre aux inquiétudes de la communauté internationale à propos de la hausse vertigineuse de son budget militaire, en soulignant qu'aucun pays ne menaçait de l'envahir ” (10).
Qui n’a pas lu ou entendu sur une radio, ou une TV, de telles annonces cataclysmiques ?...
Et, de nous matraquer médiatiquement avec des taux d’augmentation exponentiels des dépenses d’armement de la Chine. Augmentation régulière de 14, 7 % par an. Augmentation de 17, 8 % en 2007. Le troisième du monde derrière la Russie !
Ciel !... Les Chinois sont à nos portes, armés jusqu’aux oreilles !... De quoi faire trembler les chaumières et avoir un stock de cauchemars pour le restant de l’année.
Décortiquons l’arnaque :
i) Les “experts” se taisent sur les “montants”, ne parlant qu’en “pourcentages”. Vous ne trouvez, et ne trouverez jamais, dans nos médias ou dans les discours de nos politiciens, une comparaison en “budgets” par pays.
ii) Jamais, j’insiste, jamais, ces “experts” ne font ressortir le budget militaire cumulé des 25 pays de l’UE.
iii) Les taux d’augmentation dans la région, Asie, sont comparables. Ils ne sont, bien sûr, jamais évoqués ou mis en parallèle. Notamment ceux de l’Inde, identiques à ceux de la Chine.
iv) Le budget de la défense chinois est de 45 milliards de dollars pour l’année 2008. Identique à celui du Japon. Ou encore, à celui de la France (11). Ou encore, à celui de la Grande-Bretagne. Environ une quarantaine de milliards d’euros chacun. Si on applique le taux de conversion actuel du dollar/euro (1,60 US $ = 1 €), le budget chinois de la défense se révèle inférieur à celui de la France, ou de la Grande-Bretagne (12).
Autrement dit, un pays comme la France avec une population 20 fois inférieure à la Chine, finance un budget militaire qui lui est supérieur. Alors que ses “caisses” seraient “vides”…
v) Le budget de la défense des USA (non compris les dépenses militaires en Irak et en Afghanistan) est de 1.000 milliards de dollars, soit plus de 22 fois celui de la Chine. Pour une population qui représente le quart de celle de la Chine.
vi) Le budget cumulé de l’Europe (25 pays), exprimé en dollars, est de 600 milliards. Soit 13 fois supérieur à celui de la Chine, pour une population trois fois inférieure.
vii) Les budgets cumulés de la défense des pays occidentaux, USA, UE et satellites (Australie, Canada, Israël, Japon et Nouvelle-Zélande) est de 1.700 milliards de dollars. Soit, 37 fois celui de la Chine, pour une population qui représente globalement 70 % de la population chinoise.
Ces tours de passe-passe et autres jongleries des “experts”, entre budgets, présentation de statistiques, ont pour finalité de diaboliser la Chine, et entretenir la peur à son sujet. Tout en justifiant, auprès des parlementaires et des opinons publiques manipulés, des augmentations des budgets militaires au détriment de la santé, de l'éducation, et des retraites.
Mais, l’art de la désinformation, n’est-il pas de savoir jouer avec les statistiques et les budgets ?… Occultant les comparaisons… Déformant les perspectives…
Course aux armement ?... Menace pour la paix dans le monde ?... Budgets d’armements pharaoniques ?... Où, tout cela se trouve-t-il ?...
Corsetés dans leur cynisme et leur culot, nos traîneurs de sabre, en Occident, prennent soin de ne jamais balayer devant leur porte…

Vécus de français en Chine
Pour s’aérer un peu de ces relents de la désinformation, je vous livre les témoignages de deux français, parmi des centaines. Leurs vécus de la Chine :
Paul Andreu est l’architecte français qui a réalisé cette oeuvre d’art, magnifique prouesse technique, qu’est le nouvel Opéra de Pékin, ou encore appelé le Grand Théâtre National de Chine. Neuf ans de travail. Trois salles consacrées à l’opéra, la musique, ainsi qu’au théâtre et à la danse. Il a édité un livre racontant l’édification de cette demi-sphère de forme ovoïde, en verre, se reflétant dans un bassin. Depuis les premières esquisses, jusqu'à la splendide vision finale.
Il a été frappé de l’acharnement des médias occidentaux contre la Chine, y compris contre cette oeuvre. Il y a consacré un chapitre : La Désinformation, évoquant « … la presse occidentale toujours friande de critiques sur la Chine… » (13).
C’est avec émotion et reconnaissance qu’il parle de tous les responsables chinois, du monde de l’administration ou des entreprises, cadres et ouvriers, qui ont su relever tous les défis techniques. Avec un niveau de conscience professionnelle rarissime. Car, il avait placé la barre très haut, en plein accord avec ses clients. Beaucoup sont devenus, au fil des ans, des amis.
Aux racistes anti-Chinois, rongés par la peur du “péril jaune”, je leur donne à méditer une citation d’un des meilleurs spécialistes français de la Chine, José Frèches. Il y séjourne régulièrement, dans plusieurs provinces, au contact des artistes chinois contemporains :
« Force est de constater que nous avons de la Chine une vision manichéenne, faite de poncifs plus ou moins éculés, de peurs inconsidérées… Une fois pour toutes, les Chinois sont bien plus proches de nous que ce que nous croyons.
Chaque fois que je me rends en Chine, je ne peux m’empêcher de constater à quel point les gens ont un côté “méridional”, au sens méditerranéen du terme. Expansifs et bruyants, ils sont finalement très sentimentaux… presque “fleur bleue”, fort éloignés en tous cas de l’image qu’on leur colle d’êtres dont l’impassibilité masquerait la fourberie et le calcul ! » (14).
(1) Mattel : Les Excuses d’un Bluff…, article du 7 octobre 2007, http://stanechy.over-blog.com/article-12825479.html
(2) Cette vidéo m’a été indiquée par Charlotte, à la suite d’une publication chez Eva. La vidéo est aussi sur le blog de Cécile. Je vous invite à visiter les blogs de ces dynamiques et talentueuses bloggeuses.
(3) Lien de la vidéo : http://www.dailymotion.com/video/x3zjk9_2008-lannee-du-krach-chinois_business%22%3E2008
(4) Les pertes de Citigroup dans la spéculation des subprimes, au premier trimestre 2008, sont équivalentes aux pertes de la Société Générale pour l’exercice 2007 : plus de 5 milliards de dollars.
(5) Pour toutes informations sur la Chine, en français : culturelles, historiques, géographiques, économiques ou autres, je vous recommande le site, remarquablement bien documenté et illustré (se balader au-dessus de la Grande Muraille par photo satellite sur 6.400 km : un vertigineux régal…) : Chine – Informations : http://www.chine-informations.com/
(6) Voir aussi les rubriques “économie” du site d’informations, en anglais : Asia Times : http://www.atimes.com/
(7) Cambreleng, Boris, Faut-il avoir peur de la Chine ?, Editions Milan, 2006, pp. 33-34.
(8) International Herald Tribune, 28 février 2006
(9) RTL-Info, Belgique, 4 mars 2008.
(10) Budget militaire Chinois : le Japon demande des précisions - 5/3/208 – AFP – in Aujourd’hui le Japon
(11) Bienvenue au Sénat - Travaux parlementaires - http://www.senat.fr/rap/r05-400/r05-40011.html
(12) Cf.: Global Security org : http://www.globalsecurity.org/index.html
(13) Andreu, Paul, L’Opéra de Pékin – Le Roman d’un Chantier, Editions du Chêne, 2007, p. 125.
(14) Frèches, José, Quand les Chinois cesseront de rire le monde pleurera, XO, 2007, pp. 21-22.
Photos :
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