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Liberté ...

   
 

 

 

 


 
Le Québécois
chante la lutte des Peuples
contre la Prédation
 
 

Horizon...


Du conseil international en gestion stratégique et en développement d'économies émergentes...
Au regard sur la régression du respect de la dignité humaine, des libertés et du partage.
Une espérance solidaire avec ceux qui ne l'acceptent pas.
A contre-courant...

 

 

 

Modération


Tous commentaires et propos contribuant à enrichir échanges et débats, même contradictoires, sont amicalement reçus. Ne sont pas acceptées les pollutions organisées, en particulier :

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.  Injures

.  Propos racistes

.  Incitations à la haine religieuse

 

Avertissement

Liberté d’expression et abus de procédure

 

Devant la multiplication actuelle des atteintes à la liberté d’expression, sous forme d’intimidations et de menaces à l’égard de blogs et de sites, de la part d’officines spécialisées dans la désinformation et la propagande relatives aux évènements passés, présents et à venir au Moyen-Orient, tout particulièrement, il est rappelé que la Loi du 21 juin 2004 (LCEN),

modifiée par la Loi n°2009-1311 du 28 octobre – art.12, s’appliquant à des « abus » éventuels,

spécifie

dans son alinéa 4 :

« Le fait, pour toute personne, de présenter aux personnes mentionnées au 2

un contenu ou une activité

comme étant illicite

dans le but d'en obtenir le retrait ou d'en faire cesser la diffusion,

alors qu'elle sait cette information inexacte,

est puni

d'une peine d'un an d'emprisonnement

et

de 15 000 Euros d'amende»

 

 

24 janvier 2021 7 24 /01 /janvier /2021 22:50

 

 

"La véritable école du commandement est celle de la culture générale.
Par elle, la pensée est mise à même de s’exercer avec ordre, de discerner dans les choses l’essentiel de l’accessoire, (...) de s’élever à ce degré où les ensembles apparaissent sans préjudice des nuances.
Pas un illustre capitaine qui n’eût le goût et le sentiment du patrimoine et de l’esprit humain.
Au fond des victoires d’Alexandre, on retrouve toujours Aristote..."

Charles de Gaulle (*)

 

 

Il voulait faire une Amérique à nouveau « grande »…

MAGA, était l’acronyme à usage de slogan de la campagne électorale qui avait porté Trump pour un premier mandat à la présidence des Etats-Unis : Make America Great Again

 

Beaucoup y avaient cru.

Il a été forcé d’accepter sa défaite électorale, dans un climat de malversations entachant les comptages des suffrages exprimés, de désordres et de chaos dans de nombreux Etats ; et l’humiliation de se voir censuré par les nouveaux maîtres de l’information ou de la propagande que sont devenus les réseaux sociaux, aux commanditaires réels soigneusement occultés…

Trump : La Chute en Vrille…

Il laisse ainsi un pays profondément divisé, ravagé par une crise économique et sociale d’une ampleur inconnue depuis la fin des années 1930.

 

A sa décharge, dit-on, il n’a jamais pu gouverner, paralysé par les mailles du filet de l’Etat Profond ; à l’exemple des autres Etats occidentaux et affiliés.

 

De plus, son pays a dû subir les redoutables effets d’un virus, aux stratagèmes et déclinaisons à l’infini, se révélant une miraculeuse « ingénierie sociale » pour les oligarchies ; utilisant cet outil protéiforme, avec autant de frénésie que de ravissement, pour implanter un totalitarisme menant leurs concitoyens en troupeaux dans l’enfermement d’un goulag de dictature Orwellienne.

Il n’a même pas pu drainer le « swamp », pour reprendre une de ses expressions favorites. Ce « marécage » pestilentiel de connivences, de combines et de corruptions qui infeste les rouages de l’Etat.

 

C’est le « swamp » qui a triomphé, n’ayant eu de cesse de provoquer sa chute en vrille.
 

Trump : La Chute en Vrille…

 

Ni héros, ni victime, il n’est que le symbole, le constat, la mesure, dans une abyssale perte de « valeurs » morales, ou plus simplement humaines, du délabrement des institutions et des systèmes de gouvernement d’un Etat se voulant « impérial », mais n’étant que décadent. Décadence, par osmose, largement partagée, infusée, chez ses « alliés »…

 

Un « gendarme du Monde » en faillite, sur tous les plans.

Son seul titre de gloire, ou de satisfaction, prenant soin de le rappeler dans son discours d’adieu : il restera dans l’histoire un des rares présidents des Etats-Unis à ne pas avoir déclenché une guerre.

 

Peut-être…

 

Mais, il n’a rien fait, ou rien pu faire, pour arrêter les dizaines de campagnes militaires aux budgets faramineux, aux violences et aux destructions, horribles, quotidiennes, permanentes, infligées à des millions de personnes, initiées par ses prédécesseurs sur tous les continents.

 

En tant que président, incapable de remettre en cause les pratiques de ses prédécesseurs, il a signé les ordres nécessaires pour assassiner de hauts responsables et personnalités de pays qui refusent d’être asservis, en violation des conventions internationales. Véritables crimes de guerre.

Multipliant les « sanctions » économiques ou autres, en violation de ces mêmes conventions, toujours à l’encontre de pays refusant la vassalisation ; sous les prétextes les plus artificiels ou les plus mensongers. Jusqu’à inclure la paisible île de Cuba dans la liste les « Etats terroristes »…

 

Cette paranoïa l’amenant, encadré des plus féroces et sanguinaires pitbulls de l’Etat Profond, de Bolton à Pompeo,  à dénoncer les traités internationaux signés par son pays, dans le cadre de l’ONU, tant avec la Russie ou l’Iran, destinés à éviter les conflits mondiaux.

 

La liste est longue. Arrêtons-là…

 

Sans vouloir l’accabler dans l’acharnement, force est de constater qu’il a commis les erreurs impardonnables pour celui qui a l’ambition de devenir un Homme d’Etat :

 

i)  Ne pas avoir le courage de se retirer lorsqu’il se trouve dans l’impossibilité de gouverner et de mener à bien son programme ; selon ses engagements vis-à-vis de ses électeurs, et selon les valeurs qu’il a promis de respecter. Se noyant dans les compromissions avec ses propres adversaires politiques.

 


ii)  Ne pas choisir des collaborateurs de talent, de conviction et de courage. En lieu et place, se compromettre dans le népotisme le plus délirant. Dans le cas de Trump : sa fille et son gendre ayant plus d’importance politique que des ministres en exercice.

 


iii)  Ne pas se forger une connaissance de la « réalité ». Aussi bien celle qu’affrontent quotidiennement ses propres concitoyens, que celle que traversent depuis des siècles les Nations avec lesquelles on traite.
Ce que le Général de Gaulle appelait la « culture générale », celle qui permet d’exercer l’esprit à peser, évaluer, discerner, la différence entre l’essentiel et l’accessoire, dans leurs nuances.


 

Plastronner dans les médias, ou la Jet set, n’est pas gouverner.
 

 

Finalement, Trump n’est que l’archétype de nos gouvernants actuels, quels que soient nos pays occidentaux ; aussi incultes que serviles à l’égard de l’Etat Profond dont ils appliquent les directives. Son successeur ne vaudra pas mieux.

Souhaitons que sa chute en vrille préfigure celle de nos propres et épouvantables oligarques. En attendant le grand nettoyage.

Tchao Pantin !...

 

Trump : La Chute en Vrille…

 

 

*.  Charles de Gaulle, Le Fil de l’épée, Editions Plon.

 

 

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