J’ai le Blues…
Après le Flamby bourré de gélatine, voir cette caste corrompue imposer, euphorique, un Toy Boy…
Au peuple de France, transformé en troupeau de moutons. Sur l’injonction de leurs maîtres, abrutis de peur et de propagande, courant droit vers le bord de la falaise pour se précipiter dans le vide…
Du crétinisme, de la servitude, de la veulerie, de la paupérisation…
Face à ce désastre décérébré, pour évacuer toute amertume, autant prendre la Route.
Pas la US 66, celle de Thelma et Louise, Bagdad Café, ou des émules de Jack Kerouac et Neal Cassady ; tombée en ruine, quelques tronçons servant de musée pour touristes. Symbole du délabrement d'un Occident sclérosé dans l'arrogance de sa décadence...
Mais, la Route de la Soie.
En Asie centrale, sous le soleil et les nuits étoilées de la fulgurante Renaissance en cours d’une époque où toutes les ethnies, cultures, traditions, religions et croyances cohabitaient dans les échanges des fastueux caravansérails.
Dans mon sac à dos, mes chanteurs de Blues préférés…
Dans ma tête, le refrain chanté par Sam McClain :
" When the hurt is over, all the pain is gone… Quand la blessure est cicatrisée, toute la douleur disparaît… "
Un de mes blues préférés, sublime dialogue entre le chanteur, la guitare solo et le piano, sur le rythme d’un cœur apaisé…
Je vous le livre :
En vous disant : "à bientôt" …